Avez vous eu un jour des doutes sur la fidélité de vos parents?

les miens en 34 ans de mariage, je n'ai jamais eu de doute mais de recentes declarations de mon chère dady m'ont un peu ebranlé. Comment réagireriez vous si découvriez que l'un a tromper l'autre (secret intact). EN SAVOIR PLUS >>>

Pour un enfant, quelque soit son âge, les parents représentent toujours les Etres parfaits, loyaux, irréprochables.
Cependant, les parents sont comme nous, ils peuvent avoir un secret personnel et nous ne sommes pas là pour les juger.
Nous les aimons pour ce qu'ils ont été, pour ce qu'ils sont et pour ce qu'ils seront pour nous, leur enfant.
Non aucuns. tout le monde savait que mon père trompais ma mère. Je me demande même si ma mère n'était pas au courant.
Perso, j'ai eu du mal à faire confiance suite à ça. allez comprendre.
sûrement pas
je sais que mon père trompe ma mère depuis plusieurs années déjà et jusqu'à nos jours mais je n'ai jamais osé le dire ma pauvre mère, ça ne lui causera que de la peine, et puis peut être ça causera le divorce et tout ce qui va avec, mais par contre j'ai eu une muvaise influence vis à vis des hommes, c'est trop dure pour moi de leur faire confiance mais bon je ne dois tout de même pas généraliser.
Aucun doute possible. maman avait un amant et papa une maitresse. je crois que pendant environ 15 - 20 ans ce fut le cas.
Ils vivent toujours ensemble (ou devrais - je dire. ils vivent enfin ensemble, car leurs travails respectifs faisaient qu'ils n'étaient pas souvent au même endroit en même temps). ils n'ont pas l'air malheureux , que du contraire!
Ils ne s'affichaient pas avec leurs amants/maitresses mais ce n'était pas non plus vraiment caché, mes frères et moi même n'avions absolument aucun doute. Nous n'en avons pas souffert car quand mes parents étaient réunis, ils donnaient l'impression d'être un couple heureux et uni, ce qui était plus que probablement le cas malgré la situation, le fait qu'il n'y avait jamais de disputes, de reproches etc devant nous couplé au fait qu'ils respiraient l'un et l'autre la joie de vivre, nous rendaient heureux alors le reste je pense qu'on s'en foutait (en tout cas c'était mon cas et je crois celui de mes frères)
J'ai l'impression que pour mes parents (mais je n'ai jamais abordé le sujet ouvertement avec eux), seule la fidélité des sentiments comptaient et sur ce point je crois qu'il n'y a jamais eu tromperie.